En février 2008, Johanne débute la danse après avoir vu une affiche à l’Université de Calédonie. Elle pense participer à des cours de rock qui très rapidement se transforment en cours de swing ! Après ses deux années d’apprentissage, elle […]
En février 2008, Johanne débute la danse après avoir vu une affiche à l’Université de Calédonie. Elle pense participer à des cours de rock qui très rapidement se transforment en cours de swing ! Après ses deux années d’apprentissage, elle deviendra l’assistante du professeur.Dari, danseur hétéroclite, sent son interprétation bridée sur les rythmes latino et envisage de s’essayer au swing qui selon lui propose plus de diversités au niveau rythmique.
C’est néanmoins lors d’une soirée salsa que leur passion commune les fait se rencontrer.
En 2012, suite à l’année d’apprentissage de Dari, ils s’envolent vers l’Australie pour se rendre au festival international de swing à Adélaïde. Si l’expérience est nouvelle pour Dari; Johanne, elle, participe à son 3ième festival.
Un an plus tard en août 2013, ils créent l’association « Et que ça swing ! » dans le but de donner des cours. Ils s’installent à Nouméa Sud, dans une petite salle pour plus de convivialité.
Dès lors ils peuvent transmettre leur philosophie de la danse dans laquelle l’apprentissage de la musicalité tient une place importante. Ils apprennent à leurs élèves à danser mais également à comprendre et ressentir la musique pour leur permettre de mieux s’exprimer sur la piste de danse.
Le swing laisse une forte place à l’interprétation avec ses variations de rythmes et de musicalité, offrant aux danseurs une grande liberté.